Several large, detailed drawings were created to dramatically illustrate for Selznick and the RKO executives the highlights being planned. “The inimitable visual story of Kong was attained largely through the imaginative drawings of Mario Larrinaga and Byron Crabbe,” said Orville Goldner and George E. Turner, authors of the book The Making of King Kong (1975). “Working from [Willis] O’Brien’s action outlines and following his order to strive for the dramatic lighting and mood of [French artist] Gustave Doré, these men in the course of production made hundreds of drawings and sketches…They also rendered the glass and background paintings that were an integral part of the miniature settings.” King Kong’s special effects utilized every then known combination of film technology as well as some innovations. There was the recently designed practical large rear screen projection and the new miniature rear projection (the latter used for some stop-motion tabletop shots), the Dunning traveling matte process, the Williams early traveling matte process (updated and improved in 1932), and optical effects created by the relatively new optical printer. Linwood Dunn, later in charge of the optical effects department and one of three to develop RKO’s own optical printer, worked out specific optical printer shots with Willis O’Brien and Cooper.
De grandes illustrations détaillées des moments-clés du film furent réalisées avant le tournage pour impressionner Selznick et les responsables de RKO. « L'inimitable identité visuelle du film est due en grande partie aux dessins plein d'imagination de Mario Larrinaga et Byron Crabbe », selon Orville Goldner et George E.Turner, les auteurs de The Making of King Kong (1975). « En se basant sur les scènes d'actions esquissées par Willis O'Brien et sur ses consignes leur demandant de s'inspirer des gravures de Gustave Doré, les deux hommes ont réalisé des centaines de croquis et de dessins pendant la production du film, ainsi que des dessins sur verre et des décors pour la ville, éléments-clés des maquettes qui ont servi au tournage ». Les effets spéciaux utilisés dans le film étaient un mélange de techniques répandues à l'époque dans le cinéma et d'innovations. L'équipe eut recours à la projection par transparence, système inventé depuis peu, ainsi que du même outil en version miniature, inédit à l'époque, qui fut utilisé pour filmer les séquences d'animation image par image. D'autres innovations comprenaient le nouveau procédé de matte mis au point par Dunning, celui de Williams (dans sa première version ; il sera amélioré en 1932), ainsi que les effets créés par la tireuse optique, encore peu connue à l'époque. Linwood Dunn, qui deviendra plus tard responsable des effets optiques chez RKO et qui développera pour eux une de leurs trois tireuses optiques, mis au point certains plans importants avec Willis O'Brien et Cooper grâce à la tireuse.
Bottom left is the rendering of a sequence that was later photographed taking place at the bottom of the ravine where men who had been shaken off the log by Kong are confronted by a giant spider, large reptiles, etc. Cooper had this sequence cut after a preview screening because apparently it was too terrifying and distracting for the audience.
Ci-contre, en bas : reproduction d'une scène où, au fond du ravin, les personnages se retrouvent entre autres face à une araignée géante et d'énormes reptiles après avoir été projetés du rondin de bois par Kong. Cooper l'a coupée au montage après une projection en avant-première car les spectateurs avaient été trop horrifiés et déstabilisés.
Today with computer-generated images, digital technology, 3-D, motion capture (aka: performance capture), et al, it’s clear that special effects have certainly gone through a considerable evolution. Two Kongs were constructed at a scale of approximately one inch to a foot using a metal armature (skeleton) with ball-and-socket joints to allow the animator to create the illusion of movement for single-frame exposure in the camera. Latex rubber was molded over the armature; cotton stuffing was inserted and the body was covered with rabbit fur. One of the Kong armatures was purchased at auction in 2009 by director-producer-writer Peter Jackson. It was compared and studied by special effects creator Ray Harryhausen, Jackson, and archivist and historian Bob Burns, long-time owner of the other known surviving original armature. The Jackson armature was judged to be Kong-authentic from 1932-33.
Aujourd'hui, avec les images de synthèse, la technologie numérique, la 3-D, la motion capture (capture de mouvement) et plus encore, les effets spéciaux ont évolué de manière considérable. Deux Kongs furent créés à une échelle de 2,5 centimètres pour 30 en utilisant une armature en métal avec articulations sphéroïdes pour permettre au manipulateur de créer l'illusion du mouvement. Du latex fut moulé sur l'armature, qui fut ensuite fourrée avec du coton et recouverte de fourrure de lapin. Un des deux squelettes fut acheté aux enchères par le réalisateur, producteur et scénariste Peter Jackson. Il fut comparé et examiné par Jackson lui-même, ainsi que le créateur d'effets spéciaux Ray Harryhausen et l'historien et archiviste Bob Burns, propriétaire depuis plusieurs années de l'autre armature de Kong. Ils estimèrent tous que l'acquisition de Jackson était authentique, et datait de 1932 ou 1933.
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